coup de gueule

Longtemps j'ai pensé et agit comme les médias me l'ont appris. Aujourd'hui, je change et j'aspire de tout mon être à devenir meilleur jours apres jours.
Nous sommes tous dans notre petit coin, trop occupés par nos soucis quotidiens pour regarder ce qu'il se passe réellement, occupés par notre avenir dans ce monde complétement dérangé, un avenir dont je ne veux pas et que je suis contraint de voir venir.

On se dit tous pleins de problémes et je ris de ça car en ce moment même où vous me lisez et naviguez sur le net avec une boisson gazeuse, alcoolisée, de la nourriture, la télé qui marche en même temps...certains n'ont pas ces chances et ne peuvent avoir accés à tout ces priviléges, ils meurent de faim, de soif ou bien de maladies liées à ça. Ils ne savent pas ce qu'est un jean à la mode et sont heureux de pouvoir enfiler un froc des années 80 que l'on a donné pour bonne conscience mais sans le coeur.
D'autres n'ont pas accés à l'enseignement et travaillent dans des conditions misérables de dignités humaines et de sécurités à des ages où ils devraient etre encore insouciants. Désormais je pense à cela, j'essaye d'y penser tous les jours, j'essaye de ne plus etre capricieux, d'etre heureux des plaisirs simples qui s'offrent à moi et de ne plus envier personne pour ce qu'ils ont et ce qu'ils font.

j'essaye tout simplement de ne pas jouer le jeu de la société, qui pourrait trés bien s'occuper efficacement de la misérabilité dans le monde qui pourrait trés bien ne plus polluer notre mére la terre, résoudre les conflits politiques et religieux de par le monde.... mais ils s'ont trop occupés à vouloir faire profit sur notre dos en entretenant ces situations dramatiques et en les diffusant quotidiennement pour que nous puissions nous dire que finalement il y a pire ailleurs que chez soi.
La réalité est que l'on nous divise par la religion, la sexualité, les classes sociales, la politique...on nous coupe du monde avec internet avec lequel nous pouvons avoir tout à domicile, on nous abruti avec des emissions de plus en plus malsaines, où l'on apprends rien si ce n'est notre propre décadence.